Jade Nguyen | Poison enough for everyone

Jade Nguyen

Date de naissance 7 janvier 1990
Ville de naissance Da Nang, Vietnam
Statut Veuve
Métier Tueuse à gage
Caractère Instinctive - Déterminée – Sans pitié - Désabusée – Esseulée – Amère - Cupide - Nihiliste - N'aime pas le travail bâclé

Groupe Les réprouvés
Association Le plus offrant.

Symbole Une tête de chat blanc aux moustaches rouges avec un large sourire - son adaptation du chat d'Alice au pays des merveilles.
Alias Cheshire

Avatar Jamie Chung
Crédit de l'avatar Shiya

Caractéristiques du personnage
+ Pouvoirs et/ou Points Forts :
+ Arts martiaux : entraînement intensif pendant des années, elle est l'une des meilleures dans le domaine, à mains nues comme aux armes blanches traditionnelles.
+ Poison : Elle affectionne particulièrement les poisons sur toutes leurs formes et a aussi été formée à haut niveau à leur utilisation. Elle aime particulièrement empoisonner ses ongles.
+ Faiblesses :
- Elle reste humaine, n'a aucune capacité augmentée ni surnaturelle
- Bien qu'endurcie, des traumatismes comme ceux qu'elle a vécu pendant son enfance et adolescence ne disparaissent jamais vraiment
- Bien qu'elle ait appris à s'en servir, les armes à feu ne sont pas sont point fort.

Danse Macabre

Mon corps est un livre ouvert, ma peau pourrait être parchemin sur lequel seraient tracés à l'encre de chine le récit de mes pleurs et souffrances comme les réprimandes de mes plaisirs cachés, volés. En laissant mes doigts glisser sur mon corps, j'apprécie son grain ferme et doux, jusqu'à ce qu'une aspérité ne gâche le plaisir. Je me crispe sur les cicatrices, heureusement bien plus transparentes que l'encre de chine mais encore discernable pour quelqu'un sachant leur présence. Et je les connais par cœur, moi et moi seule, pour les avoir fièrement gagnées au prix de ma sueur et portées toutes ces années durant. Je m'y attarde peu, ou rarement... Mais des fois, malgré moi, lorsque l'une de ces marques se rappelle à moi de la manière la plus insidieuse, je revois mon enfance.

Mes souvenirs de mes parents sont flous. Il faut dire que la dernière fois que je les ai vus, j'avais aux alentours de six ans. De mon père ne me revient que son ombre menaçante, sa voix sèche en vietnamien et incompréhensible les rares fois où il parlait français, sa langue maternelle. Jamais à moi. Mon cerveau assimilait tout de même un peu et je comprenais vaguement, certains mots, tournures de phrases... Ma mère ne parlait pas français, par contre. Elle venait d'ici, de Da Nang, ancien port colonial français. Comprendre : les gens comme mon père, qui croyaient sûrement encore que ce pays était à eux. Bref. Rien ne me relie vraiment à eux, pas d'attache sentimentale. Enfin, beaucoup de haine, oui. Mais peut on haïr des gens qu'on a même pas vraiment connu ? De tels déchets méritent t-il même que je dépense mon énergie et mon temps pour éprouver un quelconque sentiment à son égard ? Il y avait des dettes, je crois. Je ne comprenais pas trop à cette époque, les choses des adultes, alors je ne suis pas sûre. Tout ce que je comprenais, c'est que ça impliquait que j'allais être vendue à des chinois, comme un certain nombre de femmes et d'enfants démunis.

Ils m'ont emmené un matin, à l'aube, avec un petit paquet contenant quelques affaires. Des habits et un doudou, si je me souviens bien. Je lui en ai sûrement fait voir de toutes les couleurs à ce doudou. Du voyage, je n'ai que peu de souvenirs non plus. De l'endroit où nous sommes arrivés, si. Car je devais y passer des années. C'était une grande exploitation agricole dont le magnifique paysage m'a permi de tenir bon. Se noyer dans la beauté de la nature, romantiser sa souffrance, ce genre de choses. On fait ce qu'on peut. Il y a aussi eu ces amitiés secrètes, muettes ou murmurés, ces regards volés pendant un instant d'inattention des maîtres. Nous n'étions pas seuls et, dans notre entraide nécessaire, nous rendions notre quotidien un peu moins insupportable. Nous tentions de répartir équitablement la pénibilité entre nos têtes, peut on dire.

Aujourd'hui, lorsque je regarde mon corps et que je me souviens de ce qu'il a encaissé, je me souviens de mes mains frêles et tremblantes effectuant les travaux manuels qu'on me confiait les premières années. Puis, alors que je grandissais, alors que ces muscles et ces os se mettaient peu à peu en place pour former un corps adolescent, on jugea qu'on pouvait commencer à me donner des travaux plus physiques. Il y avait besoin de main d'oeuvre. Je finis donc dehors, vers douze ans, à porter, marcher, me baisser, me relever, re-porter, récolter... Au moins, j'étais dehors. La plupart des enfants de mon âge et plus. Garçons, filles, ça n'avait pas d'importance – ça n'en n'a jamais eu. « Des épaules sont des épaules, elles peuvent porter peu importe qui tu es ! », m'as t-on signalé un jour. Alors j'ai porté.

Mon corps a ensuite connu des sensations bien différentes, dont les marques ont aujourd'hui disparu en surface. Je ne sais plus exactement dans quelles circonstances j'ai changé de propriétaire. Il me semble que mes maîtres actuels avaient des visiteurs auxquels ils ont fait visiter la plantation pendant que je travaillais. Ils m'ont vu et ont aimé mon corps. Tout ce que je sais, c'est que quelques jours plus tard, on m'a demandé de rassembler mes quelques affaires. J'avais quatorze ou quinze ans, une poitrine déjà bien faite surmonté d'un visage encore enfantin. Ils m'ont dit qu'ils m'avaient payé cher alors je devais les suivre et surtout être très obéissante. Je le fus – j'étais fatiguée du fouet.

Je suis passée d'esclave agricole à esclave sexuelle dans une maison close de mauvais goût, Le choc fut rude. Ce sont mes nouveaux maîtres qui se sont occupés de mon « éducation » en la matière eux mêmes (histoire de profiter en exclusivité du bien qu'ils venaient d'acheter, n'est-ce pas). Ce fut rapide. Et les deux années qui suivirent furent pénibles. Je fermais les yeux parfois et tentais de me souvenir du paysage quand je travaillais dehors. A l'air libre. Pas que je regrettais vraiment cette époque – ce n'était ni mieux ni pire. Juste un nouveau type d'enfer. Mais au moins, il y avait la brise sur mon visage, les gouttes de pluie et le ciel au dessus de ma tête. Et les « clients » n'aimaient pas ça, eux, que je ferme les yeux en prétendant d'être ailleurs. Les maîtres l'ont su et m'ont puni, encore, toujours, la même rengaine...

Je rêvais la nuit de leur mort. J'ai décidé d'agir quand Mei, une des autres filles avec lesquelles je m'entendais le mieux, a été mise à la rue car sa santé et condition physique ne lui permettait plus de satisfaire même le mâle le plus puceau de Chine. J'étais jeune, incompétente, je ne savais rien. Je n'ai rien planifié, je n'ai pas exécuté mes victimes avec un plaisir coupable ni quoi que ce soit de mise en scène qu'on montre dans les films. J'ai agi d'instinct sur le coup en apprenant la nouvelle et parce que l'opportunité se présentait. J'étais fulminante et je suis passée par la cuisine, vide, pour prendre un verre d'eau. Il est rentré derrière moi et m'a demandé ce que je faisais là. Un couteau traînant, bien sûr, il y a toujours des couteaux qui trainent. Alors je l'ai pris. Je lui tournais le dos, il n'a pas tout de suite réalisé et ne s'y attendait sûrement pas. Sinon je l'aurais manqué, il se serait sûrement débattu. Mais non. Je me suis retournée, la lame à la main et ai frappé au hasard. Je ne me rappellais jamais de quel côté était le cœur – et même si je le savais, mon cerveau n'était pas capable de réfléhir et viser. J'ai sûrement eu de la chance. Il a essayé de se débattre, un peu, quelques secondes, passé l'instant de choc de voir une de ses filles un couteau à la main. Il a crié, sûrement, mais tout le monde était en haut dans les dortoirs. Le temps que quelqu'un descende, je montais les marches quatre à quatre, aggripant stupidement le couteau plein de sang, pris sous mon bras ma couette et les quelques autres possessions que j'avais et fuiais. Le sang battait contre mes tempes et je n'osais pas penser à ce que je venais de faire. Il fallait courir, courir loin, courir vite. Avec le couteau. Je devais avoir l'air bête.

J'ai fui dans la nuit – j'avais appris à connaître les ruelles et elles étaient désertes à cette heure. On ne m'a pas rattrapé. Jamais je n'ai pris le temps de penser à mon geste. De ressentir de remords, de sentir le sang sur mes mains de désormais meurtrière ou de pâlir d'horreur devant le souvenir du cadavre. J'étais à la fois libre et tremblante pour ma survie, me rendant compte que désormais j'étais à la merci de tout. 16 ans, seule dans la rue. Des miliers de scénarios plus dramatiques les uns que les autres possibles. Etrangement.... Non. Pour une fois, ma vie décida de ne plus ressembler à une tragédie des temps modernes. Je me savais discrète et agile, et surtout, je n'avais plus rien à perdre. Je me logeais dans un genre de recoin sous un pont, un peu à l'abri des regards. J'avais mis plusieurs jours à trouver cette planque et j'en étais particulièrement satisfaite – jusqu'à ce qu'un petit voyou vienne m'embêter. Forcément, une fille frêle, comme ça, j'étais la proie facile par excellence. Pas de chance pour lui... Des années de travail dans les champs et d'exercices pour me maintenir en forme, ça muscle un petit peu le corps. Bon, je n'étais clairement pas assez bonne pour venir à bout de ce type seule, mais je me suis débattue avec toute ma hargne, assez pour attirer l'oeil d'un passant qui m'aida à finir le boulot. Là pour le coup, ça ressemble plus à un film. Car c'est ainsi que je rencontrais l'homme qui m'enseigna tout, qui avait vu en moi du potentiel à développer rien qu'en quelques instants d'une pauvre fille se débattant pour sa vie.

Mon corps garde des traces de son enseignement. Il l'a façonné, en a fait une arme de guerre furtive et tranchante. Mais ce ne se fit pas sans douleurs, sans pleurs ni blessures – et ces blessures là, de toutes ces années d'entraînement, j'en garde des marques. J'avais seize ans lorsqu'il m'a pris sous son aile. Weng Cheng était son nom. Le mien, je l'ai changé pour Nguyen, celui de ma mère, me débarassant définitivement d'un patronyme français dont je n'étais même pas sûre de la prononciation. Il y avait aussi sûrement une pointe de fierté vietnamienne dans cette décision. Quoi qu'il en soit, la vie continua à la dure. Mais l'optique était différente : je souffrais pour un but, je souffrais pour mon bien, je souffrais pour pouvoir être maître de ma propre vie dans ce monde de requins. Je souffrais parce qu'il y avait une lumière au bout du tunnel et quelqu'un pour me montrer le chemin. J'évacuais ma rage tout en apprenant à la contrôler. Et j'aimais ça. Nous avons voyagé aussi. En Chine, puis dans le reste de l'Asie, que ce soit pour approfondir mon apprentissage ou pour l'accompagner sur des contracts. D'adolescente il m'a vue devenir femme. Dans mon corps, dans ma tête, je devenais une adulte. Pas seulement parce que je grandissais, mais aussi tout simplement parce que pour la première fois, j'avais le contrôle de ma vie, de mon corps, de ma volonté. Je n'étais plus une poupée, une mûle, une esclave.

C'est alors que j'approchais de mes vingt-trois ans et que Weng Chang commençait à me faire comprendre qu'il n'avait plus beaucoup de choses à m'apprendre qu'il décida de m'ammener à une de ses connaissances, un maître des poisons africain. Un art qu'il connaissait mais ne maîtrisait pas autant que lui – et il voyait bien que le sujet m'intéressait. Nous nous sommes séparés à la frontière Thibétaine et j'ai voyagé encore, pour prendre un bateau m'amenant jusqu'à Mombassa, au Kenya. J'ai rencontré Kruen Musenda à mon arrivé au port, déjà prévenu qu'il devait retrouver une jeune vietnamienne. Une étrange alchimie s'est très vite développée entre nous, au delà d'une relation de maître à apprenti ou même d'une simple amitié. Il m'a transmi son savoir mais au delà de cela, j'ai trouvé un compagnon. Nous sommes restés ensemble deux ans, et c'est dans cette relation que j'ai véritablement noyé toutes mes larmes et traumatismes du passé. Ne reste que la guerrière, qui se souvient de ses marques mais ne les laisse plus prendre le dessus. La plupart du temps, tout du moins – je reste humaine. Que j'aime ça ou non.

C'est avec lui que j'ai perfectionné ma technique avec mes ongles, que je laisse long et enduits de poison. Rendu stérile par un de ses poisons qu'il s'était infligé par lui même pour des tests il y a bien longtemps, nous n'avons pas eu d'enfants – mais je considère porter son héritage et le perpétuer dès que j'utilise ses techniques. La mort l'a pris deux ans après notre rencontre. J'ai pleuré, un peu, et j'ai continué. Il n'y a pas grand chose d'autre à faire, vraiment. J'ai continué la seule chose que je sais faire, ce que j'ai toujours fait : me vendre. J'ai pris des contracts qui m'ont fait voyagé et m'ont aussi permi d'assoir une certaine réputation dans le joli petit monde du crime et de tout ce qui rôde dans le noir. J'ai pu faire augmenter mes tarifs. Ce monde n'a pas de sens, alors je m'amuse. Je prends du plaisir à tuer et je suis payée pour ça – et je n'ai de compte à rendre à personne en dehors de ces contracts éphémères. Qui me donnent de l'argent pour que puisse continuer à m'amuser. Cercle bénéfique.

J'ai continué pendant quelques années à développer mon réseau, me construire mon petit royaume criminel. Il y a certes beaucoup à faire en la matière en Afrique et en Asie, vu le chaos que beaucoup de ces pays connaissent au niveau de l'ordre gouvernemental, mais je me suis vite décalée vers le monde occidental. Il n'y a pas à dire : j'aime voyager. Surtout, j'avais besoin d'avancer, de laisser le passé derrière moi pour voler de mes propres ailes. Ca passait donc aussi par changer d'air. J'ai débarqué en Amérique par la partie sud et surtout centrale où j'ai aisément trouvé de quoi faire payer mes services à bon prix.

Une offre plutôt alléchante m'a finalement fait passer la barrière Etats-Unienne jusqu'à Gotham, petit coin qui avait déjà bien fait parler de lui dans les médias avec toutes ces rixes entre superhéros et grands méchants loups terrorisant la population. C'est à ce moment là que j'ai endossé le personnage de Cheshire. Pour suivre la mode, diront les mauvaises langues – je préfère dire que c'était pour me fondre dans la masse. Au moins, c'est la seule partie de mon identité que mon commanditaire a connu. Et j'ai toujours aimé me déguiser, inutile donc de dire que je me suis rapidement prise au jeu. Bane, par des contacts communs, avait eu vent de mes talents et de mon professionnalisme et avait besoin d'un élément extérieur pour aider à l'évasion d'Arkham. La mission était simple mais assez dangereuse pour que j'ai de quoi sentir l'adrénaline monter et m'amuser. Pour faire simple, disons que j'ai dégagé le chemin pour le gros de ses hommes, assassiné les premiers gardes avant de m'introduire dans l'asile pour libérer les premiers prisonniers qui créèrent ainsi un peu de chaos à l'intérieur même. Quelqu'un de furtif et pas encore sous surveillance des autorités dans le coin était une personne idéale. Pour l'occasion, j'avais investi dans une maison. Pas très grande, elle se fondait dans la masse, tout en restant assez fonctionnelle pour pouvoir me servir de bonne « base » pour m'entraîner et cacher mon petit arsenal personnel. Je l'ai gardé jusqu'ici, en faisant mon petit chez moi.

Pendant quelques mois, j'ai pu vadrouiller, effectuer des contracts ailleurs dans l'est des Etats-Unis... Puis il y a eu ce blocus. J'aurai pu me tirer avant que le shut down ne soit total, certes, mais une petite voix dans ma tête m'a soufflé de rester. Ce n'est sûrement pas cette voix là qui me permet de sauver ma peau quand je risque trop gros. Il va sûrement y avoir beaucoup à faire ici ; un empire de la décadence et du chaos, sans faux-semblants, sans règles stupides, ça sera sûrement fun, non ? Alors je suis restée à Gotham. Jade le jour, Cheshire la nuit, ou dès que j'en ai besoin. J'ai commencé à prendre le personnage plutôt à cœur, telle une comédienne se perdant dans son rôle. Au final, cela confirme plus que jamais que mon métier est un art et que je suis une artiste. Il paraîtrait même que la rumeur dise que je sois l'une des meilleures dans mon domaine, l'une des tueuses les plus implaquables de cette terre. J'apprécie, mais trop d'assurance peut être fatal... Alors j'observe le monde à travers les yeux du chaut, ricanant en silence dans la nuit sans que personne ne le voit ni ne l'entend. Une ombre, un souffle. Je frappe quand bon me semble, j'empoche ce qu'on me donne. Les bons et les méchants, ça n'a jamais eu aucun sens – et de toute façon ici, il n'y a que des méchants. Je suis simplement heureuse d'avoir un peu plus de self-control que des aliénés comme le Joker que j'observe de loin avec amusement et méfiance. Je sais que ne pas avoir de « camp » dans ce jeu de l'absurde peut être fatal.

Je jouerai avec le feu, peut être bien jusqu'à ce qu'il me brûle. Mais en attendant, j'aurais bien profité et sûrement rendue la vie dure à un bon paquet d'hommes sur cette planète. C'est bien ce que je dois à cette race pourrie qu'est l'humanité pour tout ce qu'elle m'a fait subir. Je ne vaux pas mieux que les autres – je sais juste où mes intérêts se trouvent.

Injustice - HOC img (c) mihnhngoquand tumblr

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Mais vous pouvez aussi m'appeler Val. Demander l'âge n'est pas très poli alors, ce que je peux vous dire, c'est que je suis étudiante actuellement confinée en Norvège et ma passion dans la vie c'est les roulés à la cannelle. Ça fait déjà beaucoup d'infos persos, alors nous allons arrêter là bande de curieux ! Parlons peu mais parlons bien voulez-vous. J'ai connu le forum via Thib. Toujours la faute aux mêmes, hein ? What a Face

. Ce qui m'a tout de suite emballé, c'est le contexte et le design. En revanche, si j'avais une suggestion à faire ce serait pas grand chose à dire là dessus pour le moment !. Au niveau de ma présence sur le forum, si 7/7 signifie que je passe tous les jours, je dirai que vous me verrez trainer par ici 5/7. Bien évidemment en cas d'absence ou de ralentissement, je m'engage à le signaler ! Pour finir, je conclurai cette fiche en vous disant que moi j'ai 7 rouleaux de PQ, nah !

++ Réservation d'avatar

Code:: Jamie Chung + <a href="https://injustice-hoc.forumactif.com/u20" />Jade Nguyen</a>

++ Recenser son métier

Code:: Gotham + Uptown + Mercrenaire + <a href="https://injustice-hoc.forumactif.com/u20" />Jade Nguyen</a>

++ Récap de votre personnage qui sera posté sur le forum. Merci de le compéter un maximum et de vous relire :D Elle ressemblera à la fiche de présentation des pvs alors n'hésitez pas à vous y référer !

Code:: <figure class="Presa2">
<img src="https://i.pinimg.com/originals/1d/69/75/1d69756a2e2dd4f182deb6f4a82b2772.gif" />
<figcaption>
<div class="Presa2Titre">Jade Nguyen</div>
<div class="Presa2Cont">
<st>Date de naissance</st> 7 janvier 1990
<st>Ville de naissance</st> Da Nang, Vietnam
<st>Statut</st> Veuve
<st>Métier</st> Mercenaire / Tueuse à gage
<st>Groupe</st> Les réprouvés
<st>Symbole</st> Un chat aux grands yeux et au sourire moqueur
<st>Alias </st> Cheshire
<st>Caractère</st> nstinctive - Déterminée – Sans pitié - Désabusée – Esseulée – Amère - Cupide - Nihiliste - N'aime pas le travail bâclé

<st>Avatar</st> Jamie Chung
<st>Crédit de la bannière</st> Jeremy Kyle art

<st>Eléments d'histoire en bref</st>
+ Née d'une mère vietnamienne et d'un père français
+ Vendue en esclavage enfant
+ Vers ses 16 ans, elle tue son propriétaire et s'échappe
+ Elle se fait repérer par un maître d'arts martiaux chinois qui l'entraîne
+ Fascinée par l'art des poisons, elle suit l'enseignement d'un expert africain qui deviendra son mari pendant deux ans, jusqu'à sa mort
+ Elle bouge ensuite sur le continent américain, finit à Gotham où elle est payée pour aider à l'évasion d'Arkham
+ Elle décide d'y rester et se fait son beurre, ayant une solide réputation en meurtre, empoisonnement, infiltration etc.

<st>Liens Principaux</st>
+ Alliés : Ce qui la pairont bien ou qui lui seront utiles
+ Neutres : Tout le monde
+ Ennemis : Ceux désignés par ses contracts ou qui décideront de se mettre en travers de sa route

<st>Caractéristique du personnage</st>
+ Pouvoirs et/ou Points Forts :
+ Arts martiaux : entraînement intensif pendant des années, elle est l'une des meilleures dans le domaine, à mains nues comme aux armes blanches traditionnelles.
+ Poison : Elle affectionne particulièrement les poisons sur toutes leurs formes et a aussi été formée à haut niveau à leur utilisation. Elle aime particulièrement empoisonner ses ongles.
+ Faiblesses :
- Elle reste humaine, n'a aucune capacité augmentée ni surnaturelle
- Bien qu'endurcie, des traumatismes comme ceux qu'elle a vécu pendant son enfance et adolescence ne disparaissent jamais vraiment
- Bien qu'elle ait appris à s'en servir, les armes à feu ne sont pas sont point fort.

</div><a href="https://injustice-hoc.forumactif.com/u20" class="Bouton2">Mon Profil</a><a href="https://injustice-hoc.forumactif.com/t144-jade-nguyen-poison-enough-for-everyone" class="Bouton1">Ma fiche</a></figcaption></figure>

Bienvenue! :D

Ça fait plaisir de voir Chess, elle est pas souvent tentée :D

Si tu as la moindre question, n'hésite pas ^^

Et bon courage pour ta fichette! Jade Nguyen | Poison enough for everyone 2000226429

Jade Nguyen | Poison enough for everyone 2000226429

Welcome copine !

Merci beaucoup !

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuue à toi

Hey ça fait super plaisir de te revoir parmi nous, j'ai bondi quand j'ai vu ton pseudo bounce

Bienvenue avec ce perso qui promet d'être badass et bon courage pour cette fiche Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3040263484

Bienvenue Jardinette <3

MERCI LES AMIS Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3513389480

Ca fait super plaisir de vous revoir ! Jade Nguyen | Poison enough for everyone 493497125

Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3163253467

Je me mets à l'histoire dans l'aprem, avec un peu de chance je finis la fiche ce soir

Bonjour,

Je rajoute dans ta fiche un bout de code à remplir, dans la partie IRL concernant le métier du personnage, afin de nous aider pour le recensement ! Merci par avance de le remplir Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3962298909

Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3962298909

Potit chat ! héhé

J'aime beaucoup beaucoup ce choix de personnage ! Jade Nguyen | Poison enough for everyone 3513389480

J'ai hâte de lire la suite de la fiche. Bon courage pour la rédaction et bienvenue.

Hello Jade!

Ta fiche est top dans l'ensemble! Il y a juste la fin qui nous semble un peu confuse.
Pourrais-tu expliciter en quelques lignes comment Bane a contacté Cheshire, pourquoi elle, et en quoi consistait son rôle dans la prise d'Arkham s'il te plaît? :)

C'est modifié, 3e paragraphe en partant de la fin. J'espère pas trop créer d'incohérence avec cette dernière partie ^^

Et merci Tara !

Jade Nguyen

Date de naissance 7 janvier 1990
Ville de naissance Da Nang, Vietnam
Statut Veuve
Métier Mercenaire / Tueuse à gage
Groupe Les réprouvés
Symbole Un chat aux grands yeux et au sourire moqueur
Alias Cheshire
Caractère nstinctive - Déterminée – Sans pitié - Désabusée – Esseulée – Amère - Cupide - Nihiliste - N'aime pas le travail bâclé

Avatar Jamie Chung
Crédit de la bannière Jeremy Kyle art

Eléments d'histoire en bref
+ Née d'une mère vietnamienne et d'un père français
+ Vendue en esclavage enfant
+ Vers ses 16 ans, elle tue son propriétaire et s'échappe
+ Elle se fait repérer par un maître d'arts martiaux chinois qui l'entraîne
+ Fascinée par l'art des poisons, elle suit l'enseignement d'un expert africain qui deviendra son mari pendant deux ans, jusqu'à sa mort
+ Elle bouge ensuite sur le continent américain, finit à Gotham où elle est payée pour aider à l'évasion d'Arkham
+ Elle décide d'y rester et se fait son beurre, ayant une solide réputation en meurtre, empoisonnement, infiltration etc.

Liens Principaux
+ Alliés : Ce qui la pairont bien ou qui lui seront utiles
+ Neutres : Tout le monde
+ Ennemis : Ceux désignés par ses contracts ou qui décideront de se mettre en travers de sa route

Caractéristique du personnage
+ Pouvoirs et/ou Points Forts :
+ Arts martiaux : entraînement intensif pendant des années, elle est l'une des meilleures dans le domaine, à mains nues comme aux armes blanches traditionnelles.
+ Poison : Elle affectionne particulièrement les poisons sur toutes leurs formes et a aussi été formée à haut niveau à leur utilisation. Elle aime particulièrement empoisonner ses ongles.
+ Faiblesses :
- Elle reste humaine, n'a aucune capacité augmentée ni surnaturelle
- Bien qu'endurcie, des traumatismes comme ceux qu'elle a vécu pendant son enfance et adolescence ne disparaissent jamais vraiment
- Bien qu'elle ait appris à s'en servir, les armes à feu ne sont pas sont point fort.

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Sujet: Re: Jade Nguyen | Poison enough for everyone